Il vise à promouvoir :
- une logique de confiance et de subsidiarité (responsabilisation au maximum des capacités de chacun),
-
la coopération et l’intelligence collective,
-
le respect de
principes de conduite (droits et devoirs) basés sur des valeurs explicites et partagées,
- un système de reconnaissance garantissant une qualité des relations de travail et du climat social,
- une prise de décision responsable, tenant compte de l’impact à long terme sur les différentes parties
prenantes.
Il contribue à la qualité de vie au travail des salariés, source de satisfaction, motivation, implication et épanouissement professionnel, à travers :
- l’exercice d’une responsabilité,
- l’autonomie et la capacité d’initiative,
- la reconnaissance et le soutien par l’entourage,
- l’existence de liens professionnels, de réseaux,
- le développement des compétences.
Sa mise en place passe par un travail participatif à tous les échelons de l'organisation, en commençant par le haut (conseil d'administration, comité de direction) visant :
- une identité organisationnelle claire, dans laquelle chacun peut se reconnaître : l'identification concertée et la formulation explicite des valeurs, de la mission, de la
stratégie et des repères de conduite de l'organisation,
- des processus et modes d'organisation cohérents avec ces valeurs et repères, basés sur des objectifs négociés (non imposés) et une contractualisation des engagements,
- l'exemplarité des attitudes et pratiques de management et de gestion, ainsi qu'une capacité de l'organisation à sanctionner les pratiques "hors jeu"
- une circulation de l'information fluide et à double sens,
- des mécanismes explicites de concertation et de régulation des tensions.